Publié par : Yves | janvier 15, 2009

C’est la fin de ce blogue!

Trop souvent négligé, j’ai décidé de fermer ce blogue. Je vais récupérer certains de mes texte et les afficher dans mon nouveau blogue, dont je vous dévoilerai l’adresse lorsqu’il sera prêt!

Publié par : Yves | décembre 25, 2008

Rétrospective 2008

Et oui! L’année 2008 se termine dans moins d’une semaine au moment d’écrire ces lignes, et il est maintenant le temps de faire une rétrospectives des événements marquants et moins marquants de l’année.

Mais peu importe ce qui s’est déroulé dans l’actualité, 2008 restera à jamais gravée dans ma mémoire comme l’année de naissance de mon fils. Ce qui en fait de facto la meilleure année possible! 🙂

Chaque sous-section contiendra, dans l’ordre ou dans le désordre, les moments marquants…

Bonne rétro 2008!

2008 en sports, c’est :

  • Le Super Bowl le plus excitant depuis celui Rams-Titans, soldé par une victoire des Giants sur les jusque là parfait Patriots
  • La victoire de mes Red Wings en finale de la coupe
  • La performance surhumaine de Michael Phelps avec ses huit médailles d’or
  • La consécration d’un nouveau roi de la course : Usain Bolt
  • La fin de la F1 à Montréal
  • Le championnat de Lewis Hamilton en F1, premier Noir champion du monde
  • La plus belle cérémonie d’ouverture de J.O. de l’histoire
  • (encore) d’autres scandales de dopage en cyclisme et au Tour de France
  • L’année où les Devil Rays de Tampa Bay sont passés de la pire équipe à finalistes de la Série Mondiale
  • Chantal Petitclerc qui remporte 5 médailles d’or aux Paralympiques
  • La victoire de Rafael Nadal à Wimbledon contre le roi déchu, Roger Federer
  • Le Canadien de retour aux standards élevés de leurs fous fans (s’cusez là! :P)

2008 en musique c’est :

  • Le spectacle de McCartney sur les Plaines, le plus gros spectacle de l’histoire du Québec, n’en déplaise aux Montréalais(es)
  • Le retour de Metallica
  • Une multitude de bons (McCartney) et de mauvais (STP) spectacles au 400ième de Québec

2008 en cinéma, c’est

  • Une des meilleures performances cinématographiques de l’histoire, avec le regretté Heath Ledger pour sa performance en tant que Joker
  • Une baisse aux guichets pour le cinéma québécois
  • La multiplication des films de Superhéros

2008 dans l’Actualité, c’est

  • Des élections, des élections, des élections…
  • La presque-disparition de l’ADQ
  • L’entrée en scène de Québec Solitaire Solidaire
  • Le « scandale » Julie Couillard
  • 535 cm de neige tombés sur la Vieille Capitale, un record
  • L’élection de Barack Obama, premier Président Noir
  • 29 décès canadiens en Afghanistan
  • Le début d’une crise financière mondiale dont nous connaissons que les touts premiers balbutiements
  • Tina Fey et Sarah Palin

2008, c’est aussi une liste de disparus notoires :

  • Heath Ledger, acteur australien, 28 ans
  • Arthur C. Clarke, auteur (2001 : A Space Odyssey), 90 ans
  • Luc Bourdon, joueur de hockey, 21 ans
  • Sydney Pollack, auteur et réalisateur américain, 73 ans
  • Yves Saint-Laurent, couturier français, 71 ans
  • Isaac Hayes, chanteur et compositeur américain, 65 ans
  • Bernie Mac, acteur américain, 50 ans
  • Paul Newman, acteur américain, 83 ans
  • Ben Weider, entrepreneur et historien canadien, fondateur de BodyBuilders, 84 ans
  • Alexei Cherepanov, joueur de hockey, 19 ans
  • Michael Crichton, auteur américain, 66 ans
  • Michel Vastel, journaliste politique canadien, 68 ans
  • Charlton Heston, acteur américain, 84 ans
  • Guillaume Depardieu, acteur français, fils de Gérard, 37 ans
  • Sir Edmund Hillary, premier homme au sommet de l’Éverest, 88 ans
  • Bobby Fisher, ancien champion d’échecs, 64 ans
Publié par : Yves | décembre 10, 2008

Jouer à Dieu

Je suis tombé par hasard ce midi sur un article de la Presse venant de la plume de Mali Ilse Paquin qui s’intitulait « La mort en direct », faisant référence à un documentaire sur le suicide assisté. Ça m’a fait réfléchir.

Le plus grand argument des « pro-vie » et tout ceux qui sont contre le suicide assisté est sans aucun doute celui qui dit que « vous ne pouvez pas jouer à vous prendre pour Dieu ». L’Église catholique reprend essentiellement les mêmes propos.

Dans ce court texte de Mme Paquin, il y a un extrait vidéo du documentaire, où l’homme qui va mourir, Craig Ewert, parle. C’est un homme brillant et encore fort lucide, mais qui souffre. Et je trouve son argumentation logique et solide.

Pour reprendre ses propos, disons qu’il est étrange l’Église et les « pro-vie » applaudissent lorsqu’un bébé prématuré est sauvé, ou encore lorsqu’une transplantation d’organe réussi. Pourtant, ces deux actes sont aussi « jouer à Dieu », car sans cette intervention, les patients seraient morts. Et tant qu’à pousser la logique, est-ce que toutes les sciences de la santé sont « jouer à Dieu » ?

Non. Si se prendre pour Dieu est bon dans un sens, il doit l’être dans l’autre aussi. Si, parce qu’un patient souffre trop et sait qu’il ne fera qu’endurer des souffrances et faire souffrir ses proches, décide de mettre fin èa ses jours, je ne crois pas que l’on puisse l’en empêcher.  Il n’est pas contre la loi de faire euthanasier un chat ou un chien, mais pour un humain, c’est illégal. Ou est la logique?

Au contraire, je crois que le geste de vouloir s’éviter des souffrances inévitables et épargner de l’infinie tristesse et de la douleur pschycologique aux proches et amis, je crois que le suicide assisté, s’il est un geste posé en toute lucidité, est non pas une impersonification de Dieu, mais bien un acte d’une grande humanité.

Publié par : Yves | novembre 23, 2008

La petite histoire de La naissance de Jacob

Lettre à mon fils, pour qu’il sache comment je me suis senti, lors du plus beau jour de ma vie

Les cartes étaient dispersées pêle-mêle sur la longue table de bois, faiblement éclairée par le lustre argenté à cinq branches de la salle à manger. Les cœurs, carreaux, piques et trèfles n’étaient plus regroupés, ils formaient plutôt plusieurs petits amas disparates. Voisines de ses piles désorganisées, quelques bouteilles vides reposaient là pour témoigner du plaisir qui avait régné tout au cours de la soirée. Les chaises étaient toutes abandonnées, et la pièce aussi était inoccupée, signe que la partie était terminée depuis quelques temps déjà.

De l’autre côté de l’immense vitre qui donnait sur la cour extérieure, papa et ses amis discutaient bonnement de tout et de rien. On y jasait de sport, du travail, et de la partie qui venait de se conclure. La soirée était fraîche, mais très agréable pour cette période de l’année. Tout semblait propice à une veillée des plus banales lorsque soudain, trois petits coups se firent entendre dans la vitrine. C’était maman, qui était déjà couchée depuis une heure. « C’est pour t’avertir que ça fait une heure que j’ai des contractions, et elles sont aux trois minutes » dit-elle à mon attention. Je la regardai incrédule. Mes compagnons comprirent qu’il serait peut-être préférable de quitter et de laisser les futurs parents seuls, au cas où les contractions s’intensifieraient. Ils nous souhaitèrent donc le bonsoir et prirent congé de nous.

Je retournai à l’intérieur pour rejoindre maman qui était assise sur le sofa de cuir, crayon à la main. « Que fais-tu? » lui demandais-je. « Je note mes contractions. » répondit maman en se tenant le ventre. « Veux-tu qu’on se rende à l’hôpital? » suggérai-je, étonnamment calme, compte tenu des circonstances. « J’aime mieux attendre encore un peu » décida maman. Bon, très bien. Attendons.

Les minutes s’égrainaient lentement. Les contractions, quant à elles, ne disparurent pas. Au contraire, elles maintenaient le rythme, si bien qu’une heure plus tard, papa décida qu’il valait mieux aller voir un médecin. Dans le pire des cas, on serait renvoyés chez nous.

Les sacs de linge furent jetés dans le coffre de la voiture, et nous prîmes la direction de l’Hôpital Saint-François d’Assise, au beau milieu de la nuit. Les autoroutes étaient parsemées de quelques voitures çà et là, si bien que le trajet se fit assez rapidement.

Nous entrâmes donc à l’hôpital, dans l’espoir de nous faire dire si le travail était bel et bien commencé, ou si cela n’était que faux espoir. Dans mon cas, mon idée était toute faite : les contractions allaient cesser et nous serions de retour dans notre petit lit douillet avant la fin de la nuit, en nous disant que c’était passé bien proche! Maman fut donc emmenée vers un lit où un infirmier se ferait le devoir de vérifier le sérieux des contractions. Elle enfila une jaquette et attendit quelques minutes.

L’infirmier fit son examen, et conclu que l’on devait attendre encore une quinzaine de minutes. Bon signe? Mauvais signe? Nous ne le savions pas. Maman avait envie de pipi et elle se dirigea vers les toilettes. Elle en ressorti après une petite minute et m’annonça : « Je viens de crever les eaux. » L’infirmier, qui avait lui aussi entendu, confirma que l’on ne retournait pas à la maison.

Le temps s’arrêta.

Ca y était. Dans quelques heures, je serais papa. Papa. Un mot, deux syllabes. Une peur s’installa sournoisement. Serais-je à la hauteur? Est-ce que mon fils m’aimera? L’angoisse, la hâte, l’excitation du moment, la surprise de l’événement un peu hâtif. Un assortiment de sentiments qui vous font passer par toute la gamme des émotions en un court laps de temps.

Nous fûmes donc conduits vers la chambre qui serait la salle d’accouchement. L’horloge, de ses chiffres rouges, indiquait deux heures du matin. On déposa les sacs, et maman se coucha sur le lit. L’attente commença.

La nuit fila sans qu’on s’en rendre vraiment compte. Alors que les premières lueurs du jour se mirent à réveiller la ville toute entière, le docteur nous annonça que le travail était commencé. Bébé serait là d’ici une heure, deux tout au plus.

Cela ne pris qu’une heure et vingt minutes. Et puis tu apparus, pris ton premier souffle, et nous avons entendu ton premier cri, la plus belle chose que j’ai jamais entendue. Et ce fut l’explosion émotive. Je ne pouvais contrôler mes sanglots. Maman pleurait à chaudes larmes, entre la douleur de l’exploit accompli et la joie indescriptible d’avoir donné la vie.

À huit heures, vingt minutes, le samedi six septembre deux mille huit, j’étais officiellement papa, pour le reste de ma vie. Comment moi, un petit garçon de vingt-six ans qui se comportait encore comme un enfant, allait être capable d’accomplir cette immense tâche?

Je n’ai entretenu ces doutes que quelques secondes. Car lorsque mon regard a croisé le tien pour la première fois, j’ai tout de suite compris. Rien de tout cela ne serait difficile, car tu es mon fils, et rien ne pourra jamais m’empêcher de te donner tout se dont tu as besoin. Le lien entre un fils et son père est comme un fil invisible qui nous unira à jamais.

C’est maman qui te prit dans ses bras en premier, puis se fut à mon tour. Encore une fois, ce fut un tourbillon d’émotion. Un torrent de larmes coula sur mes joues. Des larmes de joie, de la plus belle joie qui soit donnée d’avoir.

Une fois les examens de routine faits, nous fûmes changés de chambre, pour aller occuper celle qui serait la nôtre pour les deux prochaines nuits. La journée se déroula bien, tu faisais ça comme un grand.

Le soir, afin de laisser maman se reposer, je t’ai pris dans mes bras pour aller faire une petite promenade sur l’étage. Nous avons traversé le long couloir bordé de chambres pour nous rendre tout au bout, là où il y a des fauteuils confortables, mais aussi une vue imprenable sur la Haute-Ville. La noirceur tombait doucement sur la capitale, et nous étions confortablement assis quand tes quatre petits doigts entourèrent mon index qui te chatouillait le menton. On aurait dit que tu me serrais la main, pour te présenter. « Bonjour, je m’appelle Jacob. Est-ce que tu veux être mon papa? ». Encore des larmes aux coins des yeux, qui se tournèrent vers le château Frontenac. Le plus beau petit garçon du monde, dans la plus belle ville du monde.

Comment est-ce qu’une aussi petite chose peut procurer autant de sensations? Je ne le sais pas, mais c’est ce que j’ai connu de plus fort dans ma vie. Je me levai pour retourner auprès de maman, avec dans ma poche une alliance père-fils scellée pour l’éternité.

En terminant, cher fils, j’aimerais te souhaiter tout ce qu’il y a de plus précieux dans la vie : la santé, l’amour et le réconfort des gens qui t’entourent. Je veux que tu sois fier de tes origines, autant de celles du côté de maman, qui est née dans la même ville que toi, que celles du côté de papa, originaire de la Gaspésie, là où vivent les gens les plus accueillants et les plus généreux que je connaisse.

Je t’aime pour toujours,

Papa

Publié par : Yves | novembre 22, 2008

Ce n’est qu’un au revoir!

Il y a de ces moment qu’on voudrait qu’ils durent beaucoup plus longtemps. Comme jeudi dernier, alors que j’étais attablé avec des amis au PubX, autour de quelques bières.

Nous écoutions le match de hockey qui était diffusé sur les écrans Plasma, mais ce n’est pas pour cette raison que nous étions tous réunis. Nous étions là pour dire au revoir à un bon copain qui part pour six mois.

En effet, mon ami Pierre a décidé, avec sa blonde Geneviève, de partir à l’aventure. Durant plus d’une vingtaine de semaines, ils enfourcheront leur vélo à la conquète de l’Asie du sud-est. Le voyage d’une vie. Je dis le voyage d’une vie, non pas parce que c’est son dernier voyage. J’en doute. En fait, je suis a peu près certain que ce n’est qu’un voyage parmi tant d’autres pour lui.

Alors, pourquoi est-ce que je me sentais déjà nostaligique, alors que je venais à peine de lui serrer la pince pour une dernière fois et de quitter les lieux? Ça m’a pris du temps avant de trouver la réponse, mais j’ai trouvé. Parce qu’en ces temps où tout va très vite, trop vite, les amis précieux sont devenus denrée rare.  Les trois autres amis qui m’accompagnaient cette soirée-là font partie de cette catégorie. Et de devoir me séparer de l’un d’eux durant une aussi longue période m’a fait réaliser à quel point je tenais au peu de véritables amis qui me restent.

Alors Pierre,  mon ami, profite bien de chaque seconde de cette grande aventure qui t’emmènera aux confins de notre planète, dans des endroits aussi méconnus que magnifiques. Et faites attention à vous, car j’ai bien l’intention, dans six mois, de t’inviter à prendre une tite frette, pour que tu puisses me raconter en long et en large ton voyage.

Chúc may mắn, mon ami.

Publié par : Yves | Mai 26, 2008

Pastiche d’un classique

Il y a de cela plusieurs années, durant un cours de français au Cégep, il fallait écrire un récit qui serait un pastiche de L’Homme qui plantait des arbres de Jean Giono. Le tire devait s’en inspirer, de même que la forme du texte.

J’ai donc eu l’idée de retravailler le texte que j’avais fait à l’époque, et de vous le faire partager ici.

Il se nomme « L’Homme qui écoutait le silence » et il se trouve dans le menu de droite.

Bonne lecture!

Publié par : Yves | Mai 20, 2008

Une première nouvelle littéraire

Dans le menu de droite, je viens de publier ma première nouvelle littéraire « Trece« . J’aime écrire sur des sujets très variés et j’aime les défis! Ce premier texte se trouve dans la catégorie « horreur », si l’on peut dire. J’ai tenté d’écrire sur ce thèeme, car s’en est un avec lequel je suis moins à l’aise, et j’avais le goût d’essayer.

Pour mon prochain texte, je vais tenter de composer quelque chose à partir d’une chanson. Reste à trouver laquelle.

Je suis tout ouïe à vos suggestion, et j’espère que ce premier texte vous plaira. Libre à vous d’y laisser vos commentaires!

Publié par : Yves | Mai 19, 2008

Après une longue escale, c’est reparti!

Bonjour à tous!

Après un arrêt de plus de six mois, j’ai décidé de raviver ce blogue, et de lui donner une nouvelle orientation. L’inspiration et le temps manquants, je n’avais plus donné suite à mes écrits sur ce blogue. Par contre, après avoir bavardé avec mon ami Pierre, qui a décidé de créer, avec sa copine, son propre blogue pour faire partager son très intéressant projet, je me suis dit « pourquoi pas moi aussi? ».

Bien sûr, le projet n’est pas le même, mais le but ultime reste similaire : partager ses passions. La mienne, c’est l’écriture. J’ai donc décidé de vous faire partager quelques-uns de mes écrits. La plupart seront des nouvelles littéraires, mais je me permettrai des petites incartades de temps à autre.

Je vous souhaite donc un bon deuxième vol, direction l’imaginaire.

Publié par : Yves | septembre 17, 2007

Nostalgie d’automne

L’automne est une saison qui me rend nostalgique, et je ne sais pas trop pourquoi. Peut-être parce que c’est la fin de l’été,  du temps chaud où tout le monde fait la fête. Parce que c’est le retour au sérieux, au train-train quotidien, à la routine.  On délaisse le rythme festif de la saison estivale.

Pour moi, le bonheur en automne c’est une grande marche, dans la fraîcheur saisonnale, avant le coucher du soleil, alors que ses rayons percent encore l’horizon, avec mon iPod sur mes oreilles, et respirer le grand air.

Et les chansons qui me font le plus voyager, qui me font revisiter mes souvenirs de vacances, mes souvenirs d’enfance, et qui me font penser à ma lointaine Gaspésie, ce sont Soul Meets Body de Death Cab For Cutie, et Somewhere Only We Know de Keane.

Ouais. Avec ces deux chansons, je revois à la fois mon passé, et je m’imagine les voyages futurs que je désire faire. Je vois l’Angleterre et l’Écosse.

Un jour…

Publié par : Yves | août 30, 2007

Un rêve…

Je caresse un grand rêve depuis longtemps. Celui d’écrire un livre et d’être publié. J’achève la rédaction de mon premier roman.

Bien sûr il reste encore plusieurs étapes dont la relecture, la correction, l’envoi aux maisons d’éditions etc. J’espère bien qu’un éditeur me donnera une chance.

J’aimerais partager un extrait. Pour avoir un « feedback ». Mais j’ai peur du plaigiat. Et je travaille sur mon ouvrage depuis trop longtemps pour risquer quoi que ce soit. Plus d’un an de travail.  À temps partiel, bien entendu.

Peut-être que je changerai d’idée. Peut-être quelqu’un me fera-t-il changer d’idée?

À suivre…

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